Cécile Goor, notre première Présidente, est allée rejoindre Evelyn Gessler.  Elles ont été les ailes qui ont donné de la hauteur et surtout beaucoup de cœur à notre Club L.

Personnalité reconnue et célébrée de notre paysage belge, Cécile Goor donnait plus volontiers des fleurs qu'elle ne se les appropriait. Par une délicate et exquise modestie, elle renvoyait toujours l'ascenseur vers celles et ceux qui l’avaient aidée à gravir les marches de la notoriété. Ancienne ministre PSC (devenu cdH puis Les Engagés), Cécile avait intégré la politique en 1952 en tant qu’échevine à Woluwe-Saint-Lambert. Elle fut aussi sénatrice, ministre et Secrétaire d’Etat de la Région de Bruxelles-Capitale. 

Toujours engagée du côté des femmes, elle leur a ouvert de nombreuses portes en politique… et au Club L qu’elle présidait avec beaucoup d’intelligence, une grande générosité de cœur et une infinie gentillesse. Elle avait l’art de mettre en valeur le talent de chacune d’entre nous, et celui de nos conférenciers dont elle résumait brillamment les propos. Et dans les affaires délicates, en excellente diplomate, elle réconciliait les divergences avec beaucoup d'élégance.

 

Mère et grand-mère dévouée, trois fois veuve, Cécile Goor est restée extrêmement vive et engagée tout au long des 101 ans d’une vie bien remplie. L’an dernier, lors du dîner de ses 100 ans, aux membres du Club L présentes, elle a confié le secret de sa longévité active et en pleine forme :  ne pas avoir de regrets, rester toujours active socialement, et générer de nouveaux projets.

 

Cécile Goor est un exemple de détermination et de sagesse pour nous toutes. Nous avons eu beaucoup de chance au Club L de pouvoir bénéficier de ses avis éclairés, de sa pondération, de ses encouragements et de son humour toujours très subtil. Cette grande dame nous quitte encore trop tôt: nous aurions tant aimé fêter les 40 ans du Club L avec elle !

Très populaire à Molenbeek, notre membre Françoise Schepmans (MR) a quasi toujours exercé, depuis 1989, un mandat exécutif dans la commune bruxelloise. L’ex-maïeure libérale, vient d’annoncer dans un article du Soir publié ce 25 juillet qu’elle n’exercera plus de responsabilités locales, après 35 années de politique molenbeekoise. « J’avais fait à l’époque trois fois plus de voix que la tête de liste depuis la troisième place », se souvient-elle. Entre 2012 et 2018, son mayorat constitue le point d’orgue de cette longue période. La diplômée en droit de l’ULB de 64 ans, revient sur ses souvenirs et ses liens forts avec Molenbeek, son amour pour la commune, sans éluder les difficultés des élus locaux pour garder cette dernière hors de l’eau, et sans cacher les difficultés à gérer cette entité pleine de défis.

Françoise revient, avec prudence, sur ses liens compliqués avec la famille Moureaux côté socialiste. Entre 1989 et 2012, elle a d’abord fait face à Philippe Moureaux (PS). Depuis 2016, sa fille Catherine dirige le PS local. Françoise Schepmans a officié comme première échevine du premier et de la seconde. A chaque fois, elle reconnaît une cohabitation difficile. « Oui, c’était très compliqué. Défendre ses idées au sein d’un collège avec Philippe ou Catherine Moureaux n’est pas du tout évident, mais c’est comme ça », indique la libérale, qui se décrit comme « consensuelle, mais tenace et volontaire ». Malgré son apparence fragile et ses réticences à aller au conflit, Françoise Schepmans a toujours occupé une place en vue sur la scène locale après 35 ans.

Les attentats de Paris et de Bruxelles ont marqué ses 6 années come bourgmestre, en novembre 2015 pour les premiers et en mars 2016 pour les seconds. « Ca a été dur et intense. Je savais que Molenbeek avait des difficultés en matière de sécurité, qu’il y avait des voyous, mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit des voyous radicalisés. Ca a été vraiment un choc ».

Quand j’ai été bourgmestre cela a impliqué des choix compliqués car il y a peu d’entrées. On a mis l’accent sur l’éducation et la culture.

Malgré des adversaires politiques qui ne l'ont pas ménagé, et un environement difficile, Françoise a su faire preuve de courage et de pugnacité et n'a jamais jeté l'éponge.

Notre membre Cécile Coune vient d’être nommée Présidente de la Fédération Belge des Fondations Philantropiques.  FBFP – BFFS est une fédération regroupant près de 130 membres (fondations d’utilité publique, fondations privées et fondations d’entreprises) ayant pour but commun des objectifs philanthropiques dans le domaine de la santé, l’éducation, la recherche, l’environnement, et la culture. La Fédération est au service de ses membres, elle promeut le rôle positif et essentiel des fondations dans notre société et œuvre au développement du secteur philanthropique en Belgique. Parmi les membres, la Fondation Roi Baudouin, la Fondation Bernheim, la Fondation contre le Cancer, la Fondation Pelicano, la Fondation pour les Générations futures, le FRS-FNRS et bien d’autres encore. Pour plus d’informations n’hésitez pas à visiter leur site : www.lesfondations.be

 

Cécile Coune a mené une double carrière exécutive comme CEO dans le secteur des assurances, d’une part, et d’autre part comme partner chez Liedekerke, un important cabinet d’avocats. Depuis 2018, Cécile est administrateur non-exécutif, actuellement chez Proximus, Credendo GSR, QBE Europe et Securex. Engagée en faveur de la diversité et de l’inclusion, elle a co-fondé et co-présidé Women on Board et European Women on Board jusqu’en 2017. Elle est aussi Mentor chez Duo for a Job, et administrateur dans des hôpitaux de santé mentale.

Quelle joie et quelle fierté de découvrir que notre membre du Club L, Françoise Bertieaux ait été désignée par son Président de parti pour devenir Ministre au sein de la Fédération Wallonie-Bruxelles ! Elle succède ainsi à Valérie Glatigny qui a accompli un parcours remarquable en débloquant des dossiers importants comme notamment la fusion de l'UCL et de Saint-Louis et les quotas de numéros INAMI pour les médecins. Je ne doute pas que Françoise sera à la hauteur pour relever tous les défis encore existants avant la fin de la législature. 

 

Certaines d'entre vous connaissent déjà bien Françoise mais permettez-moi de vous la présenter brièvement. Née à Uccle, elle est membre du Mouvement réformateur (MR) depuis plus de 40 ans et membre de notre Club L depuis plus de 25 ans. Elle est licenciée en droit en 1981 de l'Université Catholique de Louvain, diplômée en marketing, et licenciée en études théâtrales.

 

Ce 19 juillet 2023, elle a prêté serment en tant que Ministre en charge de l’Enseignement supérieur, des Hôpitaux universitaires, de la Recherche scientifique, de l’Aide à la Jeunesse, des Maisons de Justice, de la Promotion de Bruxelles, de la Jeunesse au sein du Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Voilà beaucoup de compétences auxquelles elle va se consacrer entièrement ! 

 

Dynamique de nature, elle met toute sa motivation à servir les secteurs et les personnes, de la meilleure des manières.

 

Françoise a été pendant plus de 14 ans cheffe du Groupe au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ce qui lui a donné une expertise qui lui sera extrêmement utile dans ses nouvelles fonctions.

 

Elle est aussi passionnée d’art, elle peint régulièrement et aime voyager. Ceci l'a amenée à accompagner son mari en poste à New-York et à enrichir son parcours de vie. Avec le Club L, je suis ravie et émue pour elle de ce nouvel horizon qui s'ouvre dans lequel elle apportera certainement le meilleur d'elle-même !

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris que Solange Schwennicke nous avait quitté le 27 mai dernier.

 

Co-fondatrice du Club L, elle fut longtemps administratrice auprès de Cécile Goor et plus tard, Evelyn Gessler.

Solange était, du dire de toutes les membres qui se sont prêtées au petit exercice de rédaction pour faire advenir cet article, une GRANDE DAME, au propre, comme au figuré.

 

Elle impressionnait : par sa grande taille, son regard un peu sévère (qui cachait une grande discrétion, presque de la timidité), par ses tenues - originales, faites pour elle par des créatrices - mais surtout, par son charisme, son rayonnement tranquille et discret. Solange était une force tranquille, ne fut-ce qu’en apparence.

 

Solange a repris la direction de l’entreprise Delvaux jeune, après le décès de son mari. Elle n’avait pas été destinée à « ça », ni par sa formation, ni, sans doute, par ses rêves. Elle devint cependant une grande personnalité du monde des affaires.

 

« Moderne dans ses approches managériales, sociétales, et sociales »  dit d’elle Michèle Gillot, qui l’a fréquentée au sein des organisations patronales. « Plus jeune et moins expérimentée, j’ai beaucoup appris à son contact »

 

Moderne aussi dans son attitude en faveur des femmes : « C’était une femme très moderne, à l’écoute des gens et de ses équipes, ouverte à la discussion et soucieuse de trouver des solutions adéquates pour les femmes qui travaillaient dans ses ateliers, surtout les jeunes mères de familles.» enchaine Amélie d’Outremont.

 

Dominique Estenne : « Avoir connu Solange est un privilège, tant elle était charismatique et inspirante. Femme emblématique, elle fut anoblie par le Roi Albert II en 2011, ce qui était rare pour les femmes à l’époque ».

 

En conclusion, cette petite anecdote, raconté par Gilberte Raucq : « Un soir une spécialiste fiscale de Fortis était à notre table dont faisait partie Solange. A un moment donnée, Solange sort son grand sac DELVAUX et la fiscaliste pleine de tact s’écrie en le voyant: Oh, des sac pareils , il y en a plein, à Singapour… Toute cette table eut un fou rire, à lui expliquer qui était Solange! »

 

Ou, comme le dit si bien Michèle Gillot : « Les temps ont changé ….mais son sac fétiche est toujours la vedette de Delvaux »

Fabuleusement inoxydable ! Celle qui est née à Anvers le 11 février 1923 est toujours aussi jeune d’esprit et de cœur, cultivant sa curiosité et son ouverture aux autres. Ainsi en témoigne, entre autres, l’émission Les Experts sur https://bx1.be du 29 octobre dernier, où elle donne clairement son opinion et encourage la mobilité douce à Bruxelles.

 

Au Club L, nous avons eu la chance de l’avoir comme Présidente pendant plus de vingt ans, et ce dès la création de notre cercle de femmes exerçant des responsabilités ou des fonctions dirigeantes. Cécile Goor en était assurément le meilleur exemple. Elue à 30 ans, en 1953, au conseil communal de Woluwe-Saint-Lambert, elle a fait une brillante carrière qui l’a menée au Conseil provincial, puis au Sénat dont elle fut vice-présidente, et ensuite à l'exécutif de la Région bruxelloise dont elle fut la première femme Ministre.

 

Quand Evelyn Gessler songea à créer le Club L Benelux en 1985, sur le modèle de son aîné français, elle eut l’idée géniale de demander à Cécile Goor d’en assurer la Présidence. Ce que Cécile fit brillamment pendant plus d’une vingtaine d’années. D’une extrême tolérance, Cécile avait toujours la parole subtile pour mettre en valeur le talent de nos conférenciers. Et, dans les affaires délicates, en excellente diplomate, elle réconciliait les divergences avec beaucoup d'élégance.

 

Il y a une douzaine d’années, Cécile Goor a souhaité remettre sa fonction de Présidente du Club L. Mais, aujourd’hui encore, toujours active, elle est, entre autres activités, devenue membre du groupe politique Les Engagés !

Une grande dame qui, en tant qu’oncologue, se bat encore tous les jours pour améliorer la qualité de vie des personnes guéries d’un cancer, tant du point de vue médical et psychologique que sociétal. Françoise mérite amplement, parmi d’autres distinctions honorifiques, le titre de baronne décerné en 2007 par Albert II puis, en 2011, celui de " Grand Officier de l’Ordre de la Couronne". Des mises à l’honneur qui lui ont fait plaisir, “parce que, dit-elle, je ne travaille ni pour le pouvoir ni pour l’argent, mais la reconnaissance, ça me motive ! ” Motivée, elle l’est depuis toujours. Docteur en médecine (ULB) à 24 ans, avec la plus grande distinction, elle obtient une bourse pour deux ans de recherches au Memorial Sloan Kettering Cancer Center à New York (1977-1978). Revenue en Belgique, « pour donner des racines à sa fille », dit-elle, Françoise est nommée Chef de la Clinique des maladies infectieuses et du Laboratoire de Microbiologie à l’Institut Jules Bordet, Bruxelles (1979-1991). Parallèlement, elle poursuit sa carrière au Fonds National de la Recherche Scientifique (FNRS). En 1991, à 42 ans, elle s’oriente vers l’Organisation Européenne pour la Recherche et le Traitement du Cancer (EORTC) dont elle devient Directeur Général (1995-2015) puis Directeur « special projects »  jusqu’en 2018. Françoise Meunier est alors responsable de la coordination des études cliniques menées par l’EORTC dans des centaines d’hôpitaux universitaires européens. « Aujourd’hui, dit Françoise, des progrès formidables ont été accomplis et nombreux sont ceux qui guérissent du cancer. Mais la société ne suit pas. Les survivants du cancer continuent à souffrir de discrimination dans le monde du travail, pour l’obtention de prêts hypothécaires, d’assurances, etc.» Désormais, Françoise Meunier, qui  a quitté l’ EORTC à 69 ans, et juge la retraite à 65 ans « mauvaise pour le cerveau », s’est lancée dans un nouveau défi : le « cancer survivorship ». En tant que membre de l’Académie Royale de Médecine de Belgique et Vice-Président de la Fédération Européenne des Académies de Médecine (FEAM) et membre  du conseil scientifique de plusieurs organisations européennes, Françoise met tout en œuvre pour que le principe d’une loi sur le droit à l’oubli, initiée par la France, et acceptée par la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas, le soit bientôt à l’échelle européenne. 

Sous son humour inébranlable, sa joie de vivre et sa pétulance se cachent aussi tous les talents d’une remarquable leader, super efficace qui grimpe les échelons professionnels avec une vitesse et une régularité constante.

Allegra vient d’être élue Présidente du CRO Forum qui regroupe les plus grosses sociétés d’assurance (Aegon, Allianz, Generals, AXA, etc). En un an, elle est passée de la vice-présidence à la présidence. Encore un échelon gravi dans une carrière menée tambour battant.

Italienne de naissance, formée en France (MBA d’INSEAD en 1998), à 30 ans, à la stupéfaction générale, elle était déjà Partner chez McKinsey, le conseiller d’entreprises et d’institutions parmi les plus influents au monde. Allegra était membre de l'équipe de direction pour les services bancaires, les services bancaires de gros, la gestion d'actifs et les assurances.

A 33 ans, elle devient membre du Comité de direction de F&C Investments, le plus ancien fonds d'investissement collectif au monde et contribue à un certain nombre d'initiatives visant à façonner le paysage financier en Europe.

Depuis 2016, dotée d’une vaste expérience internationale, ayant travaillé au Royaume-Uni, au Benelux, en République tchèque, en France, en Allemagne, en Italie, en Roumanie et en Russie, Allegra est Chief Risk Officer d'Aegon NV.

Aujourd’hui, elle accumule plus de 20 ans d'expérience dans le secteur des services financiers, tant au sein de grandes entreprises internationales qu'à titre de conseil. Mais sa vie ne se limite pas à sa carrière professionnelle. Plurilingue (italien, français, anglais, néerlandais, espagnol), mère de 3 enfants, pendant ses vacances (bien avant la pandémie), elle s’est amusée à écrire un livre de cuisine, 100 recettes rapides, chics et inratables pour tous ces jours où, comme elle, en super-héros du quotidien, on jongle entre le boulot, les enfants, la maison et... 12 invités dans une heure ! Et elle trouve encore le temps de jouer au golf, de skier et, très important pour elle, de rigoler avec les copines !

Notre membre Nathalie Gilson, échevine à Ixelles pendant 15 ans et députée fédérale, a été élevée au rang de Chevalier de l’Ordre de l’Etoile d’Italie par un Décret du Président de la République Italienne, Monsieur Sergio Mattarella. 

L'Ordine della Stella d’Italia a été créé en 2011 pour récompenser les citoyens qui consolident les relations amicales et la coopération entre l'Italie et les pays étrangers.  

Si ce titre honorifique a été accordé le 9 janvier 2020 à Nathalie Gilson, la cérémonie officielle n’a pu se tenir en juin à cause du Covid-19. C’est sans public ni réception que le diplôme et les insignes lui ont donc été décernés le 16 décembre dernier par l’Ambassadeur d'Italie à Bruxelles. 

A cette occasion, S.E. Madame Elena Basile, a souligné les mérites de Nathalie Gilson. « Dans ses fonctions d’élues, elle a réussi à incarner une référence pour une grande partie de la Communauté italienne ainsi que pour l’Ambassade en facilitant les rapports institutionnels avec les autorités locales ixelloises. Son engagement politique et la promotion de l’Italie en Belgique ont contribué à renforcer les contacts entre les interlocuteurs italiens et les représentants de la ville de Bruxelles. »

Heureuse de cet honneur, Nathalie Gilson précise : « Depuis 25 ans, en tant qu’élue à Ixelles, et mariée à un Italien, j’ai noué des contacts étroits avec l’Italie et la communauté italienne à Bruxelles. Dès que je peux rendre service, je le fais avec plaisir. Et pas seulement pour l’Italie ! », ajoute Nathalie, membre du Mouvement Réformateur (MR), toujours passionnée par la politique qu’elle dit vivre comme un engagement pour aider les citoyens et améliorer le fonctionnement de l’Etat.

Avec son dynamisme et sa bonne humeur légendaire, Anne multiplie avec plaisir les activités. Nous connaissons toutes sa passion pour les bouquins depuis qu’elle anime le Club L Lire; rares sont celles qui ignorent qu’elle s’est investie à fond dans de l’humanitaire en Zambie, pays proche du sud Congo où elle a vécu jusqu’à ses 15 ans. Beaucoup savent qu’elle a mené 40 ans de carrière, riches en rencontres et défis, notamment comme partner chez Korn Ferry, à une époque où

les femmes « chasseurs de tête » étaient encore rarissimes. « J’ai cru que c’était une erreur de casting, dit-elle avec humour. Mes collègues étaient tellement des stars et en faisaient la démonstration, que je ne pouvais imaginer jouer dans la même cours qu’eux. J’ai bossé comme une dingue, me suis appuyée sur mon beau réseau de la Louvain School of Management (LSM) pour m’introduire auprès de décideurs. A l’époque, alors que j’élevais seule mes 2 filles adolescentes, pour devenir «Equity partner », j’ai dû mettre une mise de fonds de 100.000 $ que j’ai emprunté à un taux de 9%. Quel stress ! Réussir était un must. C’était Up or Out et on avait 2 ans pour le prouver ». Pari réussi : elle s’y est forgé un nom et une solide réputation pendant 29 ans ! « Lors de mon 1er Partners meeting à Hawaii pour célébrer les 25 ans de Korn Ferry, nous étions 200 Partners dont 18 femmes. Je suis fière d’avoir été une de celles-là.» Membre du Club L depuis 30 ans, Anne y a parrainé de nombreuses candidates dont Sophie Dorsimont qu’elle a entraîné dans l’organisation des grands voyages pour les Alumni LSM.

Le nouveau site permettra notamment de consulter la base de données des membres et leurs profils, les évènements passés et futurs, et de s’inscrire en ligne.